La mort est là...
Les caresses du vent sur mon visage
Me rappellent que tu es là
Moi la pauvresse souffrant dans ma cage
Je m'effraie de ce monde là
Prévenants, les anges du demi-jour
Me prédisent un malheur manifeste
Les êtres qu'on délaisse se vengent
Et me promettent une mort certaine
Parce que la vie a une fin
Et que la mienne est aujourd'hui
Puisque la mort n'est pas très loin
Les cloches témoignent, la vie n'est rien
Où sont les bons, les sauveurs du monde
Les esprits les invoquent
Où est la paix qui unie les peuples
La mère l'appelle, elle l'attends
La souffrance est-elle un choix ?
Elle ne l'est pas, pourtant elle est là !
Las je suis d'attendre que tu viennes à mon secours
Mes prières restent muettes
Et ne parviennent pas jusqu'à toi
Dieu lui même ne les entends pas
Dieu lui même ne les entends pas
Parce que le temps est le malin
Et que le vent souffle et s'enfuit
Puisque mourir devient pressant
Puisque partir devient stressant
Dieu me guette, il m'attends
Partir
Sortir de ma souffrance est une délivrance
La souffrance est-elle un choix ?
Je ne crois pas, pourtant elle est là !
Las je suis d'attendre que tu viennes à mon secours
Mes prières restent muettes
Et ne parviennent pas jusqu'à toi
Dieu lui même ne les entends pas
Parce que la vie a une fin
Et que la mienne est aujourd'hui
Puisque la mort n'est pas très loin
Les cloches témoignent, la vie n'est rien
Parce que le temps est le malin
Et que le vent souffle et s'enfuit
Puisque mourir devient pressant
Puisque partir devient stressant
Parce que la vie a une fin
Et que la mienne est aujourd'hui
Puisque la mort n'est pas très loin
Les cloches témoignent, la vie n'est rien
Parce que le temps est le malin
Et que le vent souffle et s'enfuit
Puisque mourir devient pressant
Puisque partir devient stressant
Puisque la mort est là...